Messages récents

Bonsoir à toutes et tous,

Je viens vers vous car je suis à la recherche d'une recette que j'ai découverte il y a quelques années en allant chasser dans la région de Kaolack.
Tout les midis, à l'apéritif, le cuisinier nous régalait de filets de tourterelles en sauce.
Comme un idiot je suis parti s'en lui soutirer le secret de cette délicieuse recette .
Alors si quelqu'un la connaît je lui serai très reconnaissant de pouvoir me la transmettre afin que je puisse déguster ce morceau de Sénégal chez moi.

Cordialement.

L'école Tamsir Demba Sall de Mbour est confrontée à un défi de taille avec le départ de quinze élèves de CE1 et CM1 qui ont choisi de tenter l'émigration clandestine vers l'Espagne à bord de fragiles pirogues. Cette réalité bouleversante a été révélée par le directeur de l'établissement, Daniel Bassène, dans une interview accordée à Bés Bi.

Située dans un quartier de pêcheurs, l'école fait face à une pression sociale où les parents, souvent épuisés par le dur labeur de la pêche, voient leurs enfants comme des remplaçants nécessaires. Daniel Bassène déplore cette situation en soulignant que chaque année, l'école perd environ un cinquième de ses effectifs en raison de ces abandons scolaires.

Le phénomène de l'émigration clandestine des élèves, en particulier ceux des classes de CE1 et CM1, pose des questions profondes sur les causes de cette décision. Les familles sont-elles poussées par la nécessité économique à sacrifier l'éducation de leurs enfants pour la promesse d'une vie meilleure à l'étranger? Quels sont les facteurs sociaux et économiques qui contribuent à cette réalité alarmante?

En examinant de plus près la communauté de pêcheurs à Mbour, il devient crucial de comprendre les dynamiques familiales et économiques qui influencent le choix de sacrifier l'éducation des enfants au profit du travail dans l'industrie de la pêche. Quelles solutions éducatives et sociales peuvent être mises en place pour résoudre ce problème récurrent d'abandons scolaires liés à l'émigration?

La responsabilité ne repose pas uniquement sur l'école, mais également sur les autorités locales, les organismes de développement et la société dans son ensemble. Comment ces acteurs peuvent-ils collaborer pour créer un environnement qui valorise l'éducation et offre des perspectives d'avenir aux enfants de Mbour? La réponse à ces questions déterminera l'avenir éducatif et social de cette communauté confrontée à des défis complexes.

Depuis dimanche, Bassirou Diomaye Faye est au cœur de l'attention, intronisé par Ousmane Sonko pour porter son projet présidentiel en 2024. Prisonnier depuis avril, ce proche de Sonko, décrit comme son "clone", soulève des questions sur la politique sénégalaise.

La manœuvre dilatoire du système judiciaire, combinée à des entraves administratives, vise à entraver le projet politique de Sonko. En réponse, les candidats de l'ex-Pastef, dont Bassirou Diomaye Faye, lancent une campagne de parrainage. Cette décision soulève des interrogations sur l'état de la démocratie au Sénégal.

Fils d'un responsable socialiste, BDF partage de nombreuses similitudes avec Sonko, tant sur le plan politique que personnel. À 41 ans, il se révèle déjà comme un acteur majeur, ayant contribué à la feuille de route du Pastef en 2014. Son passé à l'ENA et sa maîtrise en droit reflètent une expertise qui transcende la sphère politique.

Sous son apparence calme se cache un polémiste redoutable. Ses échanges musclés avec des figures telles que Yakham Mbaye et Me El Hadji Diouf attestent de sa combativité. L'ancien élève du Lycée Demba Diop de Mbour, bien que timide en apparence, n'hésite pas à recourir à des stratégies non-conventionnelles pour faire valoir ses opinions.

Son entrée en politique, neuf ans auparavant, fut une surprise. Son père, engagé au Parti socialiste, a influencé son choix en lui transmettant une "fibre de refus" vis-à-vis des anomalies. Entre syndicalisme et politique, BDF voit une continuité naturelle, soulignant la proximité entre la défense des intérêts corporatistes et la lutte politique.

Malgré sa défaite aux élections locales de 2022, et son absence aux législatives, BDF émerge comme un acteur incontournable. Sa détention provisoire depuis avril, sans que son éligibilité ne soit remise en cause, suscite des interrogations sur l'utilisation du système judiciaire à des fins politiques.

Ainsi, le destin politique de Bassirou Diomaye Faye s'entremêle avec les enjeux démocratiques du Sénégal. Alors que son influence grandit, une question demeure : quelle sera la contribution de BDF à la scène politique sénégalaise, et comment son ascension influencera-t-elle l'équilibre politique du pays?

La dynamique des relations entre les 18 et 25 ans est un sujet complexe, marqué par la recherche de soi, la découverte de l'amour et la définition des frontières personnelles. La question délicate de savoir comment se faire entretenir par un mec tout en préservant le respect mutuel est une réalité qui mérite une exploration approfondie. Dans ce forum, où la diversité des opinions et des expériences est palpable, ma vision sur ce sujet délicat est forgée par un équilibre entre l'autonomie individuelle et les relations saines.

D'abord, il est crucial de reconnaître que les relations entre les jeunes adultes peuvent prendre des formes variées. Certaines sont basées sur l'égalité des contributions financières et émotionnelles, tandis que d'autres peuvent impliquer un déséquilibre dans la répartition des responsabilités. Se faire entretenir par un mec, dans le contexte de cette période de vie, peut être vu comme une décision personnelle, pourvu qu'elle soit consensuelle et respectueuse des limites fixées par les deux parties.

Dans le cadre de cette discussion, il est essentiel de souligner l'importance fondamentale du respect mutuel. Se faire entretenir ne doit pas être synonyme de perdre son autonomie ou d'accepter un traitement irrespectueux. Le respect dans une relation englobe la communication ouverte, la compréhension des besoins et des limites de chacun, et l'acceptation mutuelle des choix de vie.

La première étape vers une relation où l'un des partenaires assume davantage de responsabilités financières consiste à établir une communication claire et honnête. Il est essentiel de discuter ouvertement des attentes, des aspirations et des limites financières dès le départ. Les malentendus peuvent souvent être évités en établissant des fondations solides basées sur une communication transparente.

De plus, la confiance mutuelle est un pilier central de toute relation saine. Lorsqu'une personne prend en charge davantage de responsabilités financières, elle le fait souvent avec la confiance que son partenaire contribuera d'une manière différente et équivalente à la relation, que ce soit sur le plan émotionnel, domestique ou autre.

Cependant, il est crucial de maintenir un équilibre afin d'éviter toute dynamique toxique. Se faire entretenir ne doit pas signifier perdre son indépendance ou sacrifier ses propres rêves et aspirations. Chacun devrait conserver sa propre identité, ses objectifs personnels et son autonomie financière, même au sein d'une relation où les responsabilités sont réparties de manière inégale.

Le respect de soi est une composante essentielle de cette équation. Il est impératif de définir ses propres limites et de les communiquer clairement à son partenaire. Si l'on se sent mal à l'aise avec la répartition actuelle des responsabilités financières, il est essentiel d'exprimer ces préoccupations de manière constructive. Le respect mutuel implique d'écouter activement les préoccupations de l'autre et de travailler ensemble pour trouver des solutions équilibrées.

Dans ma propre expérience, j'ai constaté que les relations basées sur le respect mutuel prospèrent lorsque les deux partenaires se sentent valorisés et écoutés. Il est important de reconnaître que chacun apporte des éléments uniques à la relation, indépendamment de la répartition des responsabilités financières. L'estime de soi et le respect de l'autre sont des piliers qui permettent à une relation de croître et d'évoluer.

La question de savoir comment se faire entretenir par un mec tout en préservant le respect mutuel peut également être vue sous l'angle de l'égalité des genres. Dans une société en mutation, où les rôles traditionnels sont remis en question, il est crucial de reconnaître que chaque individu, quel que soit son genre, a le droit de choisir le type de relation qui lui convient.

Cependant, il est important d'éviter les stéréotypes de genre dans cette discussion. Les hommes et les femmes peuvent tous deux être contributeurs financiers, et chaque relation devrait être définie par les besoins et les choix des individus impliqués. La clé réside dans la communication ouverte et le respect mutuel, permettant à chaque partenaire de contribuer à la relation de manière significative.

En conclusion, la réalité de se faire entretenir par un mec tout en préservant le respect mutuel est complexe et unique à chaque relation. La clé réside dans la communication, la confiance et le respect mutuel. Chacun a le droit de définir sa propre trajectoire dans une relation, en maintenant son autonomie et en s'assurant que les choix effectués sont consensuels et respectueux des limites de chacun. En tant que membres de ce forum, nous partageons une période de vie où les relations prennent de multiples formes, et où la compréhension et le respect des choix individuels sont essentiels pour promouvoir des relations épanouissantes et équilibrées.

Le Préfet de Dakar a récemment interdit la circulation des livreurs Thiak Thiak pour des raisons de sécurité, provoquant une contestation de la part de cette communauté active dans la livraison. Les livreurs estiment être les principales victimes de cette mesure administrative, remettant en question la légitimité des motifs avancés par l'autorité. Le Président de l'Association des livreurs de Thiak Thiak, Seydina Alioune Fall, exprime son inquiétude quant aux conséquences de cette décision sur la jeunesse sénégalaise, soulignant les difficultés auxquelles sont confrontés les livreurs dans leur travail.

Selon Seydina Alioune Fall, la décision du Préfet ne fait que décourager les jeunes à rester dans le pays. Il souligne les défis particuliers auxquels la jeunesse sénégalaise est confrontée dans le secteur de la livraison, évoquant le phénomène du "barça" et du "barzakh" qui préoccupe actuellement le pays. Il appelle les autorités à encourager, motiver et sécuriser le travail des jeunes, tout en plaidant pour une assainissement et une régularisation du secteur de la livraison.

Afin de minimiser les pertes économiques pour les livreurs Thiak Thiak, Seydina Alioune Fall propose une approche différenciée en permettant aux livreurs détenteurs de papiers en règle de circuler pendant les périodes à risque de manifestations. Il insiste sur le fait que tous les livreurs ne devraient pas être traités de la même manière, soulignant la nécessité de reconnaître ceux qui respectent les règles et contribuent à la société.

Lors d'une intervention sur les ondes de la RFM, Seydina Alioune Fall a exprimé son désir de voir les livreurs Thiak Thiak travailler en paix, soulignant qu'ils ne sont pas impliqués dans les manifestations. Il affirme que la jeunesse sénégalaise aspire à rester et réussir dans son propre pays, et que le travail des livreurs est un moyen de garantir leur dignité. La question qui se pose alors est la suivante : Comment trouver un équilibre entre la sécurité publique et les droits économiques des livreurs Thiak Thiak, tout en favorisant un environnement qui encourage la jeunesse à rester et à prospérer dans le pays ?

La Cour suprême sénégalaise se prépare à examiner vendredi le recours de l'État contestant l'annulation, par un juge de Ziguinchor, de la radiation d'Ousmane Sonko des listes électorales, le privant ainsi de sa candidature à la présidentielle de février 2024. Cette décision, cruciale pour l'avenir politique de Sonko, suscite une mobilisation importante, avec des appels à la résistance et des manifestations pacifiques de ses partisans.

Ousmane Sonko, leader de PASTEF, a lancé un appel à la résistance, exhortant les Sénégalais à défendre la démocratie et à préserver la justice équitable. Il considère que l'audience de vendredi est déterminante pour la souveraineté de la nation sénégalaise. La coalition Yewwi Askan Wi a également appelé à des manifestations pacifiques en soutien à Sonko.

La Cour de justice de la CEDEAO, saisie par les avocats de Sonko, doit également rendre sa décision sur la réintégration de l'opposant sur les listes électorales. Cependant, le ministère de l'Intérieur, par le biais de la Direction Générale des Élections, refuse de délivrer les fiches officielles de parrainage au Maire de Ziguinchor, invoquant le caractère non-définitif de la décision du juge de Ziguinchor, actuellement en appel par l'État.

Malgré la demande de la CENA de rétablir Sonko sur les listes électorales, la DGE a rejeté la requête. Ces tensions juridiques s'inscrivent dans un contexte où Sonko a été déclaré coupable de corruption en juin et condamné à deux ans de prison ferme dans le procès Adji Sarr. Refusant de comparaître, il a été condamné par contumace et incarcéré fin juillet pour d'autres chefs d'inculpation, dont appel à l'insurrection et atteinte à la sûreté de l'État.

Le récent appel à une nouvelle grève de la faim par Sonko ajoute une dimension supplémentaire à cette saga politique complexe et tendue. Alors que la pression monte, les Sénégalais observent avec préoccupation l'évolution de cette situation, se demandant quel impact ces événements auront sur la stabilité politique et la démocratie du pays.

Dans le contexte de ces développements juridiques et politiques, quelles sont vos perspectives sur l'avenir politique du Sénégal, et comment pensez-vous que ces événements pourraient influencer la confiance des citoyens dans le système démocratique?

Le nouveau préfet de Dakar a émis un arrêté exceptionnel restreignant la circulation des motos dans le département pour des raisons de sécurité. L'arrêté, en vigueur le vendredi 17 novembre 2023, de 06 heures du matin à minuit, vise à assurer la sécurité publique dans le contexte particulier entourant l'affaire Ousmane Sonko.

Contexte de l'Arrêté

Le Département de Dakar a récemment été le théâtre de tensions liées à l'affaire Ousmane Sonko. Dans un effort pour maintenir la paix et assurer la sécurité des citoyens, le préfet a pris des mesures exceptionnelles. L'interdiction temporaire de circulation des motos est une réponse directe à la nécessité de contrôler les déplacements et de prévenir tout trouble potentiel.

Contenu de l'Arrêté

L'arrêté comporte plusieurs articles détaillant les conditions et les exceptions à cette interdiction. Les motocyclettes et cyclomoteurs utilisés par le personnel des forces de défense et de sécurité, ainsi que ceux mobilisés par les autorités sanitaires, sont exemptés. De plus, des dérogations peuvent être accordées pour des raisons dûment motivées, en particulier pour les personnes dont les activités professionnelles nécessitent l'utilisation de motos.

Toutefois, l'arrêté met clairement en garde contre toute violation de ses dispositions. Les contrevenants seront passibles de sanctions et de peines conformes aux lois et règlements en vigueur. Cette mesure draconienne souligne l'importance accordée à la sécurité publique dans le contexte actuel.

Responsabilités des Autorités Locales

Le document spécifie également les autorités chargées de l'exécution de l'arrêté. Le Commissaire central de Dakar, le Chef du Service régional de la Sécurité publique, et le Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de Dakar sont individuellement responsables de faire respecter ces mesures sur le terrain.

Réactions et Impacts

Cette décision a suscité diverses réactions au sein de la population et a soulevé des questions sur l'équilibre entre la sécurité publique et la liberté de circulation. Certains saluent cette mesure comme une nécessité urgente pour garantir la sécurité, tandis que d'autres expriment des préoccupations quant à son impact sur la vie quotidienne et les activités professionnelles.

En conclusion, l'arrêté d'interdiction temporaire de circulation des motos à Dakar est un exemple concret de la manière dont les autorités réagissent aux défis de sécurité dans des circonstances particulières. Alors que la priorité est donnée à la préservation de l'ordre public, il est essentiel de trouver un équilibre entre les mesures de sécurité et les droits fondamentaux des citoyens.

Dans quelle mesure pensez-vous que de telles mesures temporaires sont justifiées pour assurer la sécurité publique, et quelles pourraient être les alternatives plus viables pour concilier la liberté de circulation avec les impératifs de sécurité?

Viviane Chidid, la renommée reine du Djolof band, a récemment regagné le Sénégal, couronnée de succès après son triomphe aux États-Unis. Dans une conférence de presse animée, la diva a saisi cette opportunité pour répliquer à la chanteuse Titi, qui avait précédemment affirmé son absence de complexes et sa fierté pour le mbalakh pur et dur.

La réponse cinglante de Viviane Chidid a mis en lumière un aspect crucial de sa personnalité artistique. Pour elle, il ne s'agit pas d'une question de complexe, mais plutôt d'ouverture. La fierté qu'elle exprime réside dans sa capacité à incorporer des sonorités étrangères dans sa musique. Cette déclaration soulève des interrogations fascinantes sur la diversité musicale, les influences artistiques et l'évolution des genres au sein de la scène musicale sénégalaise.

Viviane Chidid, par son retour triomphant, a non seulement affirmé sa place dans l'arène musicale mondiale mais a également élargi la conversation sur la richesse de la fusion culturelle dans la musique sénégalaise. Son choix de mêler des sonorités étrangères au mbalakh traditionnel pose la question de la diversité culturelle et de la façon dont elle peut être perçue et acceptée au sein de la société sénégalaise.

En examinant de plus près la déclaration de Viviane Chidid, on peut s'interroger sur la manière dont les artistes naviguent entre la préservation des racines culturelles et l'exploration de nouvelles voies musicales. La diversité dans la musique, en particulier dans un contexte aussi riche culturellement que le Sénégal, devient un catalyseur de discussions sur la créativité, la tradition et l'innovation.

L'influence mondiale de Viviane Chidid soulève également des questions sur la manière dont la musique sénégalaise est perçue à l'étranger. Comment les artistes sénégalais peuvent-ils contribuer à la diffusion de leur culture à l'échelle mondiale tout en préservant son authenticité ? Quels sont les défis et les opportunités auxquels ils sont confrontés dans ce processus ?

Par ailleurs, la réplique de Viviane Chidid à Titi met en lumière les dynamiques parfois complexes et compétitives au sein de l'industrie musicale sénégalaise. Comment ces rivalités artistiques influencent-elles la créativité et la diversité musicale dans le pays ? Comment les artistes jonglent-ils avec la pression de rester fidèles à leurs racines tout en innovant pour rester pertinents sur la scène musicale mondiale ?

En conclusion, la déclaration de Viviane Chidid et son retour triomphant offrent une perspective fascinante sur la musique sénégalaise contemporaine. Elle soulève des questions cruciales sur l'équilibre entre tradition et innovation, l'impact de la diversité culturelle et la place des artistes sénégalais sur la scène mondiale. Comment ces thèmes continueront-ils à façonner la musique sénégalaise et à influencer les générations futures d'artistes ?


https://www.youtube.com/watch?v=RnIa1rKJ9TY

Je me demandais récemment quelque chose qui me trotte dans la tête depuis un moment et je voulais partager ça avec vous pour voir si vous avez déjà vécu la même chose. Est-ce que vous pensez avoir une bonne intuition ? Je veux dire, cette petite voix intérieure qui te dit quoi faire ou ne pas faire, celle qui te guide dans tes choix.

Personnellement, je suis un peu perplexe à ce sujet. Parfois, j'ai l'impression que mon intuition est super fiable. Comme ce moment où j'ai décidé de changer de place à la dernière minute dans la classe, et juste après, le prof a décidé de changer les sièges. C'était un peu flippant, mais ça m'a fait penser que peut-être, je devrais écouter davantage cette petite voix dans ma tête.

D'un autre côté, il y a des moments où je ne sais pas du tout si mon intuition me guide bien. Des décisions qui me semblent évidentes sur le moment, mais qui se révèlent être de mauvaises idées après coup. C'est comme si mon intuition me jouait des tours, ou peut-être que c'est juste moi qui ne sais pas l'interpréter correctement.

Je me demandais donc, est-ce que vous aussi, vous avez des doutes sur votre intuition parfois ? Comment vous savez si vous devez lui faire confiance ou si c'est juste votre imagination qui prend le contrôle ? Et est-ce que l'âge a un rôle là-dedans ? Est-ce que vous pensez que l'intuition s'affine avec le temps ou au contraire, ça devient plus compliqué à mesure qu'on grandit ?

Je me souviens d'une fois où j'ai eu un "feeling" vraiment fort à propos d'un nouvel ami. Au début, tout semblait cool, mais quelque chose dans ma tête me disait que je devais faire attention. Finalement, il s'est avéré que cette personne n'était pas vraiment digne de confiance. Ça m'a fait réaliser que parfois, il vaut mieux écouter son intuition même si ça semble irrationnel.

D'un autre côté, il y a eu des moments où j'ai ignoré cette petite voix, persuadé que c'était juste du stress ou de la paranoïa. Et devinez quoi ? Ça a souvent fini par me mordre les fesses. Donc, maintenant, j'hésite entre faire confiance à mon instinct ou penser que c'est juste une illusion.

Je me demande aussi si ça varie d'une personne à l'autre. Est-ce que certaines personnes ont une intuition plus développée que d'autres, ou est-ce que c'est quelque chose qui s'apprend avec le temps ? Peut-on travailler sur son intuition pour la rendre plus fiable, ou est-ce que c'est quelque chose de complètement inné ?

En tout cas, je suis curieux de connaître vos expériences avec ça. Est-ce que vous avez déjà regretté de ne pas avoir écouté votre intuition, ou au contraire, avez-vous déjà suivi votre instinct et que ça s'est avéré être une excellente décision ?

Je suppose que c'est un sujet un peu mystérieux, mais je pense que c'est important, surtout à notre âge où on prend tellement de décisions qui peuvent influencer notre avenir. Alors, si vous avez des histoires, des conseils, ou même des doutes comme moi, je serais super intéressé de les entendre.

Merci d'avance pour vos réponses, et j'espère qu'on pourra démêler un peu ce mystère de l'intuition ensemble !

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme au Sénégal repose largement sur l'engagement des institutions financières, en particulier les banques. Leur contribution est indéniable, comme en témoigne le nombre significatif de Déclarations d’opérations suspectes (DOS) qu'elles produisent. En 2021, elles ont signalé 300 des 371 DOS, et en 2022, cette performance s'est répétée avec 330 déclarations.

Cependant, l'effort n'est pas uniforme parmi tous les acteurs impliqués dans cette lutte cruciale. Les plateformes de transferts d'argent, les notaires, avocats, régies financières, compagnies d'assurance, et les systèmes financiers décentralisés semblent ne pas jouer pleinement leur rôle. En 2022, l'ensemble de ces acteurs n'a produit que 30 signalements, un chiffre nettement inférieur à celui des banques.

Le constat met en lumière une disparité inquiétante dans la contribution des divers acteurs. Alors que les banques font preuve d'une vigilance considérable en matière de signalement, d'autres entités clés, telles que les avocats, les notaires, et les établissements de monnaie électronique, semblent encore à la traîne. Cette asymétrie a des implications directes sur le niveau global des Déclarations d’opérations suspectes au Sénégal, qui est, selon les experts, relativement bas par rapport au volume des transactions financières enregistrées dans le pays.

La publication des chiffres par la Cellule de traitement de l’information financière (Centif) a attiré l'attention sur la nécessité d'une participation plus active et équitable de tous les acteurs impliqués dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Le rapport souligne également que certaines parties prenantes, notamment les entreprises et professions non financières désignées (Epnfd), comme les avocats et les notaires, n'ont pas pleinement compris leur vulnérabilité face à ces risques.

L'impact de cette disparité est également reflété dans les montants signalés dans les DOS. Alors que les banques ont signalé des transactions totalisant plus de 551 milliards de F CFA en 2021, d'autres acteurs, comme les notaires, n'ont signalé qu'un montant relativement modeste de plus de 72 millions de F CFA. Cette divergence met en évidence des lacunes significatives dans la vigilance et la compréhension des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme par différents acteurs.

La déclaration du Groupe d’action financière (GAFI) soulignant la nécessité pour le Sénégal de renforcer ses actions pour remédier à ses défaillances stratégiques souligne l'importance cruciale de garantir un contrôle approprié et efficace sur l'ensemble des institutions financières et des Epnfd.

En conclusion, cette disparité dans la contribution à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme soulève des questions fondamentales sur la coordination et l'efficacité du cadre réglementaire en place. Comment percevez-vous la nécessité de renforcer la participation de tous les acteurs et d'assurer une mise en œuvre équitable des mesures de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme au Sénégal?